Si elle n’était pas morte

Nasreddin Hodja, de retour à Konya après une courte absence, apprit le décès de sa femme. Avec sa philosophie habituelle, il dit aux amis attristés pour lui :

— Si elle n’était pas morte, j’aurais divorcé.

Publié dans : Non classé |le 30 octobre, 2014 |Pas de Commentaires »

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