Au poste de police

On avait volé l’âne de Nasreddin. Il courut au poste de police pour déclarer le vol.

Le chef, après l’avoir écouter, lui dit que c’était très grave et ajouta :

— Maintenant dis-moi comment cela s’est passé.

— Si je savais comment cela s’est passé, je ne serais certainement venu te trouver, répondit Hodja.

Publié dans : Non classé |le 2 novembre, 2014 |1 Commentaire »

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1 Commentaire Commenter.

  1. le 3 novembre 2014 à 17 h 40 min 010446g écrit:

    Evidemment!
    Comprennent jamais rien les policiers…

    Dernière publication sur le radeau du radotage : Hallucinant!

    Répondre

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