Je me contenterai de quatre-vingt-dix-neuf
Nasreddin Hodja rêvait qu’on lui mettait dans la main un sac de quatre-vingt-dix-neuf pièces de monnaie. Content, il protestait tout de même :
— J’en voudrais cent.
Sur ces paroles il s’éveilla. Voyant qu’il n’avait rien dans la main, il regretta sa protestation, ferma les yeux pour continuer son rêve et supplia :
— Ca va, ça va, je me contenterai de quatre-vingt-dix-neuf.
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