Je me contenterai de quatre-vingt-dix-neuf

Nasreddin Hodja rêvait qu’on lui mettait dans la main un sac de quatre-vingt-dix-neuf pièces de monnaie. Content, il protestait tout de même :

— J’en voudrais cent.

Sur ces paroles il s’éveilla. Voyant qu’il n’avait rien dans la main, il regretta sa protestation, ferma les yeux pour continuer son rêve et supplia :

— Ca va, ça va, je me contenterai de quatre-vingt-dix-neuf.

 

Publié dans : Non classé |le 13 novembre, 2014 |Pas de Commentaires »

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