L’odeur de son imagination

Nasreddin Hodja était seul chez lui et imaginait qu’il se préparait un bon petit plat : un poulet avec lequel il faisait un bouillon bien assaisonné. Il n’avait pas encore mis les pieds dans la cuisine, qu’on frappa à la porte. Un gamin, un bol à la main lui dit :

— Excuse-moi, Hodja, ma mère est malade. Je suis venu te demander un peu de potage.

Abasourdi, Nasreddin pensa : « Mes voisins parviennent à sentir jusqu’à l’odeur de mon imagination ! »

Publié dans : Non classé |le 13 novembre, 2014 |Pas de Commentaires »

Vous pouvez laisser une réponse.

Laisser un commentaire

Likemybullshit |
Carnet de lecture de 3e |
Leblogdunefolle2 |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Seulement mes mots
| PoétiquementVôtre
| Filskermeur