Continue, mon ami.

Nasreddin Hodja était dans un cimetière, quand il aperçut un chien qui faisait ses besoins. Il prit un bâton et essaya de frapper l’animal. Mais celui-ci commença à grogner et s’apprêtait à le mordre. Se voyant mal parti, Nasreddin lui jeta le bâton et faisant une révérence, dit :

— Continue, mon ami, continue.

Publié dans : Non classé |le 6 décembre, 2014 |Pas de Commentaires »

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