Continue, mon ami.
Nasreddin Hodja était dans un cimetière, quand il aperçut un chien qui faisait ses besoins. Il prit un bâton et essaya de frapper l’animal. Mais celui-ci commença à grogner et s’apprêtait à le mordre. Se voyant mal parti, Nasreddin lui jeta le bâton et faisant une révérence, dit :
— Continue, mon ami, continue.
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