Réponse à un avare
Nasreddin Hodja était l’hôte d’un collègue, réputé pour son avarice.
Celui-ci n’en finissait plus de parler et ne l’invitait toujours pas à dîner.
Quand il n’eut plus rien à dire, il demanda à Nasreddin :
— Peut-être as-tu sommeil ou soif ?
Le pauvre Nasreddin, affamé, répondit :
— En chemin je me suis endormi prêt d’une fontaine.
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