A n’importe qui sauf à moi
Selon l’usage à l’époque, les mariages se célébraient sans que les futurs époux se connaissent. C’est ainsi que Nasreddin Hodja se retrouva marié à une femme qui lui apparut, le soir des noces, beaucoup plus laide que prévu.
Un jour, pour le rendre jaloux, elle lui demanda :
— A quel homme me permets-tu de montrer mon visage ?
Et lui :
— Montre-le à n’importe qui sauf à moi.
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