La route de Sivrihisar
Nasreddin Hodja transportait à Sivrihisar quelques poules et un cop enfermés dans un panier. Les pauvres bêtes souffraient de la chaleur et de l’inconfort. Il décida de les libérer. Naturellement, une fois dehors, les poules et le coq s’en allèrent de tous côtés. Nasreddin prit alors un bâton et, poursuivant le coq l’invectiva :
— Espèce d’idiot ! Toi qui es capable avec ton cocorico d’indiquer sans te tromper l’heure de l’aube, tu ne connais même pas la route de Sivrihisar !
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