Qu’il n’oublie pas sa tête
Quelqu’un vint trouver Nasreddin Hodja chez lui. Celui-ci était à sa fenêtre, et ne voulant pas être dérangé, se cacha. Mais l’autre l’avait vu et frappa donc à la porte. La femme de Nasreddin alla ouvrir.
— Que veux-tu ?
— Je veux voir le hodja.
— Il est sorti.
— Très bien ! Salue-le de ma part et dis-lui aussi de ne pas oublier sa tête sur le rebord de la fenêtre quand il va se promener.
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